Explication des 3 types essentiels d’intimité au bureau : acoustique, visuelle et architecturale
- Affichés sur: 23 mars 2022
- Par: Équipe Hushoffice
L’intimité au bureau a de multiples facettes. Elle se décompose en intimité acoustique, visuelle et architecturale. Ces trois éléments sont importants et ont un impact sur les performances et le bien-être. Nous avons approfondi chacun d'entre eux pour vous donner des conseils précis afin de renforcer l’intimité au bureau dans les espaces ouverts.
L’intimité au bureau – points importants à prendre en compte :
L’intimité est une question de contrôle. Un contrôle sur tous les stimuli sensoriels qui font de votre environnement ce qu’il est (lumière, son, visuel). Et la maîtrise de l’intimité sur le lieu de travail nécessite un mélange de zones « ouvertes » et « fermées ». Cela s’explique par le fait que l’être humain a besoin de socialisation et d’isolement à parts égales.
Les préférences en matière d’intimité acoustique, visuelle et architecturale varient considérablement d’un employé à l’autre. Parmi un éventail d’environnements distincts, les gens choisissent naturellement celui qui répond à leurs besoins. La variété est donc essentielle.
L’intimité acoustique présente deux dimensions : l’absence de bruit de fond intrusif au bureau et la liberté de parler sans être écouté. Les trois meilleures solutions pour renforcer l’intimité acoustique sont les machines à bruit, les cabines de travail et les cloisons antibruit qui divisent l’espace.
L’intimité visuelle a également deux dimensions. Tout d’abord, les distractions visuelles n’entrent pas dans le champ de vision de l’employé. Ensuite, cet employé est à l’abri des regards indiscrets. Les solutions indispensables pour assurer l’intimité visuelle dans un open space sont les filtres de confidentialité, les cloisons de bureau et les films, autocollants ou images sur vitre.
L’intimité architecturale est le degré auquel un espace délimite physiquement ses occupants. L’idée de base est de permettre aux employés de s’isoler au degré qu’ils jugent le plus confortable. Là aussi, les cloisons, les pièces structurelles et les cabines silencieuses sont utiles.
Quelle est l’essence de l’intimité sur le lieu de travail ?
C’est une question de contrôle, d’équilibre et de variété.
L’intimité est une question de contrôle.
Autrement dit, le contrôle de son propre environnement. Plus précisément, le contrôle sur tous les stimuli sensoriels qui font de votre environnement ce qu’il est. Des stimuli lumineux, sonores et visuels. Le sentiment d’intimité d’un employé dans son espace immédiat dépend de sa capacité à contrôler, bloquer ou ajuster ces stimuli.
Lorsqu’un employé est inondé d’informations sensorielles, son intimité est violée. En revanche, lorsqu’il est trop éloigné de l’activité du bureau, il se sent isolé. L’intimité est donc un exercice d’équilibre, qui dépend de chaque individu
– explique Mateusz Barczyk, Senior Brand Manager, Hushoffice.
L’intimité sur le lieu de travail est un art, pas une science.
Sa maîtrise nécessite un mélange de zones « ouvertes » et « fermées ». D’« actif » et de « calme ». De « public » et de « privé ». Cela s’explique par le fait que l’être humain a besoin de socialisation et d’isolement à parts égales. Comme le yin et le yang, ils sont complémentaires.
La plupart des gens ont besoin de socialisation aussi souvent qu’ils ont besoin d’isolement, mais à des moments différents.
Ce besoin est parfaitement illustré au travail. Les employés oscillent par intermittence entre le besoin d’être stimulés par les autres et le besoin de s’isoler dans un espace calme. Comme des va-et-vient. Le mélange d’espaces « ouverts » et « fermés » doit s’y adapter. Les préférences en matière d’intimité acoustique, visuelle et architecturale varient considérablement d’un employé à l’autre.
Chaque personne est unique. Certains sont souvent à la recherche de sensations. Certains évitent globalement les sensations. Certains sont neurodivergents et facilement perturbés par l’agitation. Et d’autres se sentent seuls sans elle
– ajoute Mateusz Barczyk, Senior Brand Manager, Hushoffice.
Par conséquent, la solution la plus inclusive et universelle est celle qui offre des options aux employés. Autrement dit, une variété de zones, proposant chacune un degré et une qualité d’intimité uniques.
Parmi un éventail d’environnements distincts, les gens choisissent naturellement celui qui répond à leurs besoins.
Qu’il s’agisse d’un besoin d’être stimulé par les autres ou reboosté par l’isolement. Lorsqu’ils sont capables de satisfaire chaque nécessité, les employés ne se retrouvent plus déstabilisés par un excès de stimuli ou isolés par un manque de ceux-ci. Au contraire, ils entrent en harmonie avec les zones qu’ils occupent. L’important est de différencier chaque zone en termes d’intimité acoustique, visuelle et architecturale. Cela étant dit, expliquons en quoi cela consiste exactement.
Qu’est-ce que l’intimité acoustique ?
L’intimité acoustique a deux dimensions. Tout d’abord, l’employé est libéré du bruit de fond intrusif du bureau. Il n’est donc pas dérangé par les machines à café et les conversations. Ensuite, il jouit de ce que l’on appelle la confidentialité des conversations, c’est-à-dire la liberté de parler sans être entendu par d’autres.
Grâce à l’intimité acoustique, les employés bénéficient d’une liberté de parole dans un espace calme.
Ils peuvent parler ouvertement et faire tout le bruit qu’ils veulent. La confidentialité des conversations est parfois appelée sécurité de l’information, confidentialité acoustique ou protection de la vie privée.
L’intimité acoustique est un facteur de performance.
Un employé ne peut pas assimiler des processus complexes s’il ne se les explique pas à haute voix. Mais il peut se sentir mal à l’aise de le faire devant tout le monde. Son travail est donc limité par un manque d’intimité acoustique. Un autre employé est excité à chaque fois qu’il réfléchit à de nouveaux funnels. Limiter son enthousiasme débordant reviendrait à restreindre sa créativité.
Éliminez le bruit, améliorez la concentration.
Un troisième employé n’arrive pas à analyser des données à moins d’être extrêmement concentré. Pour cela, il a besoin de se retrouver dans un espace sans bruit. Ces trois cas habituels illustrent notre explication. L’intimité acoustique a un impact réel et mesurable sur les performances.
Une étude marquante Cela confirme que le manque de confidentialité des conversations est la première source de mécontentement des employés.
Cela est particulièrement inquiétant, d’autant plus qu’il a été prouvé que de mauvaises conditions acoustiques ont un impact significatif sur la santé et le bien-être des employés. De fait, une étude de 2000 a démontré que le bruit sur le lieu de travail avait un effet négatif sur les niveaux de stress perçus ainsi que sur la présence d’hormones de stress chez les employés.
Le manque d’intimité acoustique peut affecter plus négativement les employés neurodivergents.
Les personnes neurodivergentes ne traitent pas les informations sensorielles de la même façon qu’une personne lambda. Elles sont soit hyper soit hypo-sensibles aux stimuli, ce qui les rend plus vulnérables à leur environnement.
Les employés souffrant de TDAH, par exemple, sont souvent plus facilement découragés par le bruit de fond.
Alors que les employés atteints de dyslexie ont parfois du mal à discerner ce qui est dit dans les espaces bruyants. En savoir plus sur ce sujet : Aménagement de bureaux pour des employés neurodiversifiés.
La confidentialité des conversations est un élément non négociable pour de nombreuses raisons.
Elle protège les informations confidentielles, sensibles ou privées. Dans une réunion, par exemple, elle permet aux participants de s’exprimer sans craindre la fuite d’informations précieuses. Cela concerne, entre autres, les secrets commerciaux, la propriété intellectuelle et les litiges. La confidentialité des conversations est donc cruciale si votre entreprise protège des actifs créatifs.
La confidentialité des conversations protège les échanges sensibles.
Comme ceux qui se tiennent entre les responsables des RH et les employés. Et lors des appels, elle aide les gens à gagner en confiance, sûrs qu’ils ne sont pas écoutés. D’une fonction à l’autre, d’un service à l’autre, la confidentialité des conversations est primordiale.
Chaque environnement sonore dans le bureau doit fournir un certain niveau cible d’intimité acoustique.
Chaque poste a des besoins acoustiques différents. Les réunions par vidéoconférence, par exemple, nécessitent une confidentialité acoustique et un bruit de fond nul. On travaille généralement mieux dans un environnement sonore de 40 dB, le niveau le plus propice à une concentration profonde. Les activités collaboratives ont tendance à bénéficier d’un environnement plus actif. Cela s’explique en partie par le fait que 70 dB est le niveau idéal pour favoriser la créativité.
Et toutes les activités doivent être contenues acoustiquement par des cabines de bureaux acoustiques.
Ou absorbées par des solutions insonorisantes comme les cloisons. De cette façon, le bruit du bureau est contrôlé, sans jamais inonder l’espace.
3 solutions acoustiques pour renforcer l’intimité au bureau : les machines à bruit, les cloisons insonorisées et les cabines de travail.
Lorsqu’elle est réalisée avec soin, la division de l’espace peut donner à un bureau une intimité adéquate sans compromettre son ouverture
– déclare Mateusz Barczyk, Senior Brand Manager, Hushoffice.
Les machines à bruit améliorent les deux facettes de l’intimité acoustique. Elles produisent un bruit génératif et agréable qui couvre le bruit irritant et désagréable. L’espace est donc perçu comme plus calme. L’ajout d’un bruit de couverture réduit également le rayon de distraction ou la distance à laquelle les voix sont intelligibles.
La division de l’espace permet de créer des environnements sonores multiples, en donnant aux employés des options. La division de l’espace empêche le son de fuir d’une zone à l’autre. Ainsi, chaque zone dispose d’une intimité acoustique. En outre, il est possible de créer plusieurs zones avec des environnements acoustiques ou sonores différents. En proposant plusieurs ambiances sonores au bureau, vous répondez à ces préférences et besoins variés. Certains employés ont juste besoin d’un espace plus bruyant pour se sentir à l’aise, tandis que d’autres préfèrent travailler en silence. La variété s’adapte à ces différences.
Les cabines de bureau acoustiques piègent le bruit, offrant aux utilisateurs une certaine intimité tout en évitant que le bruit qu’ils génèrent dérange les autres. Les cabines sont une solution de poids, car leur avantage acoustique est multidimensionnel. Elles offrent aux utilisateurs un environnement sonore parfait pour chaque tâche. Qu’il s’agisse d’un appel téléphonique dans hushPhone ou d’un appel vidéo dans hushHybrid. Toutes deux piègent le bruit de l’utilisateur, l’empêchant de perturber les collègues dans l’open space. Il en résulte un environnement sonore plus agréable pour l’ensemble des employés, à l’intérieur comme à l’extérieur de la cabine.
En savoir plus : Le guide rapide et complet sur le bruit au bureau.
Qu’est-ce que l’intimité visuelle ?
L’intimité ou la confidentialité visuelle au bureau a également deux dimensions. Tout d’abord, les distractions visuelles n’entrent pas dans le champ de vision de l’employé. Ensuite, cet employé est à l’abri des regards indiscrets.
Lorsqu’un employé bénéficie d’une intimité visuelle, il n’est pas perturbé par les mouvements autour de lui et n’a pas l’impression d’être observé.
Ainsi, l’employé se sent à l’aise et en sécurité. Il peut se concentrer sur son travail, sans se soucier de ce qui l’entoure.
Un manque d’intimité visuelle peut causer des ravages subtils.
Les employés peuvent être interrompus chaque fois qu’un collègue passe devant leur bureau. Ces interruptions s’enchaînent. Ou peut-être qu’une équipe tient une réunion à proximité (parce qu’elle n’a pas de salles de conférence ou de cabine de réunion acoustiques comme hushMeet). Dans ce cas, les participants risquent d’être plus préoccupés par l’agitation ambiante que par la réunion.
Sans espace de réunion privé, les clients et partenaires en visite risquent d’être distraits par l’activité du bureau.
Ce qui laisse une mauvaise impression. Dans d’autres cas où l’intimité visuelle est insuffisante, les employés peuvent se sentir gênés de dessiner de nouvelles idées sur le tableau blanc, par exemple. Ils peuvent craindre d’être jugés, car leurs pensées sont exposées à la vue de tous.
Sans solutions comme les séparateurs de bureau, les employés n’ont pas d’espace personnel défini.
Ils peuvent craindre qu’un collègue lise un courriel privé ou d’autres informations sensibles sur leur ordinateur portable. Il se peut aussi qu’ils ne puissent pas travailler sur des documents confidentiels au bureau.
Les employés peuvent être stressés par le sentiment d’être constamment surveillés.
En outre, ils peuvent mettre plus de temps à accomplir leurs tâches parce que l’agitation ambiante retient constamment leur attention. Enfin, ils peuvent quitter le travail épuisés d’avoir bloqué mentalement les stimuli toute la journée.
Notez que certaines personnes se balancent, pivotent ou hochent la tête au son de la musique lorsqu’elles sont concentrées.
Cela fonctionne pour eux, mais peut être gênant pour d’autres. L’amélioration de l’intimité visuelle permettrait de résoudre ce problème. Mais il est possible que ces employés pour qui ces mouvements périodiques sont bénéfiques décident de les restreindre, par crainte d’être jugés. Leur productivité est alors limitée.
Les gênes visuelles liées à la lumière et aux couleurs sont également problématiques.
L’éblouissement, le scintillement des lampes fluorescentes, les motifs stimulants et le choix de couleurs sont autant de facteurs qui attaquent l’œil. La fatigue oculaire peut se manifester à terme. C’est inconfortable, et c’est aussi un risque ergonomique pour la santé des employés.
Un éclairage cru et distrayant peut entraver la réussite d’un employé neurodivergent.
Les employés atteints de dyspraxie, par exemple, peuvent être très sensibles à la lumière. Autrement dit, le scintillement des lampes fluorescentes ou l’éblouissement des écrans n’entraînent pas seulement un mal de tête, mais aussi une entrave à leur réussite.
3 solutions visuelles pour l’intimité au bureau : filtres de confidentialité, cloisons de bureau et films pour vitre.
Filtres de confidentialité pour écran. Peu coûteux et efficaces. Les filtres de confidentialité pour écran protègent les moniteurs de tous les angles de vue. Ainsi, les collègues à gauche et à droite ne pourront pas voir l’écran personnel d’un employé.
Écrans d’intimité autoportants. Minimalistes et mobiles. Comme des œillères bloquant de tous côtés les stimuli qui attirent l’attention. Les séparateurs de bureau autoportants sont disponibles dans toutes les hauteurs et tous les matériaux imaginables. Les modèles acoustiques absorbent les sons, ce qui améliore également l’acoustique des bureaux.
Films, autocollants et dessins pour vitre dépolis, mats ou opaques. Un moyen infaillible et économique de renforcer l’intimité visuelle sans réduire l’ouverture d’un espace. Les films, les autocollants et les dessins sont également temporaires et peuvent être rapidement retirés ou remplacés lorsque les goûts changent.
Qu’est-ce que l’intimité architecturale ?
Également appelée intimité physique. L’intimité architecturale est le degré auquel un espace délimite physiquement ses occupants.
L’intimité architecturale donne une agréable sensation de cocooning.
Elle aide les employés à se sentir à l’aise dans leur espace. Cela s’apparente à l’intimité territoriale, ou à la capacité de revendiquer et de contrôler son espace personnel.
L’intimité architecturale se manifeste de différentes manières selon les personnes.
Par exemple, certains employés travaillent très bien dos au bureau. D’autres sont mal à l’aise dans cette position, préférant être dos au mur. Certains préfèrent un espace de travail totalement fermé, qui les abrite de tous côtés. Et d’autres aiment l’aspect ouvert des open spaces.
Les personnes neurodivergentes ont généralement besoin de se sentir en sécurité dans leur espace.
Un sentiment qui est influencé par leur capacité à le contrôler. Les différents cas de figure soulignent le besoin de divers environnements de bureau. Grâce aux différents environnements proposés, les employés peuvent se séparer et/ou s’isoler de la façon la plus confortable.
Il existe des symptômes clairs d’un manque d’intimité architecturale.
Dans les cas où l’intimité architecturale fait défaut, les employés sensibles peuvent être sur le qui-vive à tout moment, prêts à faire face à une intrusion dans leur espace. Cette tension peut provoquer des troubles de l’anxiété. Ils s’épuisent à guetter leur environnement toute la journée. Certains peuvent même craindre le passage d’un collègue qui les empêche de se concentrer. Il y a donc clairement des éléments de stress.
Lorsqu’un employé n’est pas ancré dans son espace, il est mal à l’aise.
Il est incapable de s’orienter, de s’installer et de se concentrer. De plus, il ne peut pas dire « ne pas déranger » car il ne peut pas s’isoler physiquement. Ainsi, les autres continueront de s’approcher, sans savoir qu’il souhaite rester seul pour le moment.
L’intimité architecturale est un sentiment.
Et cela se résume à la sécurité, un besoin primaire. Elle affecte les gens émotionnellement et psychologiquement. Elle peut donc à elle seule miner le bien-être des employés.
L’idée de départ : permettre aux employés de s’isoler au degré le plus confortable pour eux.
Une nouvelle fois, nous ne voulons pas couper complètement le contact entre les gens. Nous voulons leur donner la possibilité de s’isoler au degré qui leur convient le mieux. C’est là que les cabines de travail privées comme hushWork.sit&stand et les cabines de réunion mobiles comme hushMeet entrent en jeu. Les cabines sont des oasis de calme, mobiles et autonomes. Chaque cabine est conçue pour un travail spécifique. Ainsi, elles offrent aux employés une expérience d’intimité idéale pour la tâche du moment.
Les cabines de bureau renforcent le concept d’open space en ramenant l’intimité et le choix.
Elles ne compromettent pas l’aspect ouvert et connecté de l’open space ; elles le complètent. Certains modèles de la collection Hushoffice peuvent vous inspirer pour repenser l’intimité de votre bureau. Pour commencer, envisagez la cabine de vidéoconférence individuelle hushHybrid ou la cabine téléphonique privée hushPhone. Toutes deux sont dotées d’une ventilation réglable et continue pour un confort thermique maximal.
Des cabines telles que les cabines d’intimité portables hushTwin changent la donne pour les personnes souffrant de troubles sensoriels.
Elles apportent un sentiment de cocooning. Elles donnent à l’utilisateur un espace personnel à contrôler. Et elles s’intègrent dans des recoins étroits, ce qui permet d’optimiser au maximum l’espace disponible. La cabine de réunion hushMeet est une autre solution, qui permet d’assurer la confidentialité des réunions d’équipe de quatre personnes. Sa colonne centrale est idéale pour accrocher un moniteur. Montez dedans, lancez le contenu, récapitulez et ressortez. Profitez de cette dynamique.
La cabine de réunion pour 2 personnes hushMeet.S est un choix judicieux si votre équipe organise régulièrement des réunions en tête-à-tête.
Elle est compacte et entièrement équipée. L’éclairage variable de HushMeet.S permet aux utilisateurs de régler la luminosité en fonction de leurs préférences. Si vous organisez régulièrement de grandes réunions, jetez un coup d’œil aux cabines de réunion modulaires hushMeet.L. HushMeet.L peut être agrandie ou réduite par l’ajout ou la suppression de modules et peut accueillir de 4 à 8 personnes. Il s’agit d’une alternative adaptable et facile à déplacer.
Vous êtes curieux de savoir ce que c’est que d’utiliser une cabine de travail privée ? Alors, ceci devrait vous intéresser : Pods privés. À quoi ressemble réellement l’intimité dans un pod de bureau ?
Les cabines de bureau portables sont une solution trois en un. Une cabine. Trois types d’intimité.
Subtilement insonorisée. Physiquement enveloppante. Conçue pour bloquer les perturbations, tant acoustiques que visuelles. Pensée pour l’intelligibilité et la confidentialité des conversations. Les cabines de bureau et les pods offrent ces trois types d’intimité essentiels. Ils se démarquent par leur indépendance, qui facilite l’aménagement. Ils transforment un bureau fixe en bureau mobile.
11 signes que les cabines acoustiques sont la solution idéale pour préserver l’intimité de vos bureaux
Vous avez mis en place des cloisons insonorisées, mais elles n’offrent pas suffisamment d’intimité acoustique : des conversations intelligibles pénètrent toujours dans l’espace et distraient les employés.
Vous n’avez pas assez d’espaces dans le bureau pour les échanges confidentiels.
Les salles de réunion haut de gamme sont toujours occupées, ce qui laisse les employés désemparés et les oblige à tenir des réunions n’importe où.
- Les employés se plaignent de bruits ou d’activités de fond gênants.
Vous avez besoin de plus d’espaces de travail et de réunion privés, mais l’infrastructure n’est pas réalisable.
Vous avez investi dans des traitements d’isolation acoustique tels que des panneaux, des cloisons et des écrans, mais ils n’absorbent pas suffisamment le son des réunions, de sorte que le bureau est toujours un peu bruyant.
Vous n’avez pas assez de zones calmes pour les appels téléphoniques.
Certains employés sont stressés ou anxieux dans l’open space parce qu’ils ont peu de contrôle sur leur environnement (vue, sons, mouvements).
La concentration est souvent interrompue par les conversations : les appels, les bavardages, le bruit des travaux collaboratifs, etc.
Bien que la machine à bruit blanc de votre bureau ait réduit l’intelligibilité des conversations, rendant l’espace plus paisible, votre équipe veut toujours des espaces insonorisés où elle peut collaborer bruyamment et librement.
Les employés se sentent gênés ou hyper-vigilants lorsqu’ils travaillent dans un espace ouvert, car ils ont l’impression d’être constamment surveillés.
Les intimités acoustique, visuelle et architecturale sont étroitement liées.
Et c’est une bonne nouvelle ! Parce que cela signifie que de nombreuses solutions de protection de l’intimité au bureau sont polyvalentes et répondent à plusieurs besoins à la fois. Ainsi, en renforçant l’un des trois types essentiels d’intimité, vous renforcez souvent les deux autres. C’est une question de réflexion, de créativité et de bonnes solutions.
L’intimité au bureau – le résumé :
L’intimité est une question de contrôle. Un contrôle sur tous les stimuli sensoriels qui font de votre environnement ce qu’il est (lumière, son, visuel). Et la maîtrise de l’intimité sur le lieu de travail nécessite un mélange de zones « ouvertes » et « fermées ». Cela s’explique par le fait que l’être humain a besoin de socialisation et d’isolement à parts égales.
Les préférences en matière d’intimité acoustique, visuelle et architecturale varient considérablement d’un employé à l’autre. Parmi un éventail d’environnements distincts, les gens choisissent naturellement celui qui répond à leurs besoins. La variété est donc essentielle.
L’intimité acoustique présente deux dimensions : l’absence de bruit de fond intrusif au bureau et la liberté de parler sans être écouté. Les trois meilleures solutions pour renforcer l’intimité acoustique sont les machines à bruit, les cabines de travail et les cloisons antibruit qui divisent l’espace.
L’intimité visuelle a également deux dimensions. Tout d’abord, les distractions visuelles n’entrent pas dans le champ de vision de l’employé. Ensuite, cet employé est à l’abri des regards indiscrets. Les solutions indispensables pour assurer l’intimité visuelle dans un open space sont les filtres de confidentialité, les cloisons de bureau et les films, autocollants ou images sur vitre.
L’intimité architecturale est le degré auquel un espace délimite physiquement ses occupants. L’idée de base est de permettre aux employés de s’isoler au degré qu’ils jugent le plus confortable. Là aussi, les cloisons, les pièces structurelles et les cabines silencieuses sont utiles.
L’intimité au bureau et les cabines acoustiques Hushoffice – les FAQs
Comment améliorer l’intimité au bureau ?
L’intimité est acoustique, visuelle et architecturale. Renforcez l’intimité acoustique à l’aide de machines à bruit blanc, de cabines de travail et de cloisons antibruit. Renforcez l’intimité visuelle à l’aide de filtres de confidentialité, de cloisons de bureau et de films pour vitre. Renforcez l’intimité architecturale à l’aide de pièces structurelles et de cabines de bureau fermées.
Quelles sont les meilleures cabines d’intimité pour le bureau ?
Les meilleures cabines d’intimité pour le bureau sont les cabines acoustiques. Elles doivent protéger la confidentialité des conversations tout en bloquant le bruit du bureau. Les cabines mobiles sont idéales parce qu’elles permettent une disposition flexible. Optez pour des modèles dotés d’un éclairage et d’une ventilation réglables afin que les employés puissent bénéficier de l’environnement le plus confortable possible. Le confort avant tout. Pensez aux pods Hush qui sont entièrement meublés et équipés pour des tâches spécifiques ; que ce soit des travaux individuels (voir les cabines d’intimité HushWork.sit&stand) ou des réunions d’équipe de 4 (voir les cabines de réunion hushMeet pour bureaux).
Que sont les cabines d’intimité pour bureaux ?
Les cabines d’intimité pour bureaux comme les cabines Hushoffice sont des espaces de travail, de réunion et de détente préfabriqués et autoportants. Elles s’adaptent acoustiquement à des fonctions spécifiques ; qu’il s’agisse de passer des appels vidéo dans la cabine de visioconférence hushHybrid ou d’assister à une évaluation des performances trimestrielle dans la cabine pour 2 personnes hushMeet.S. Les cabines d’intimité offrent également aux employés une intimité visuelle et architecturale. Comment ? Elles enveloppent physiquement, bloquent les distractions visuelles tout en protégeant l’utilisateur des regards indiscrets. Ainsi, l’employé se sent à l’aise et en sécurité. Et sa productivité s’en voit améliorée.